SAN-ANTONIO
Tout le plaisir est pour moi
Un disque de Georges Brassens est évoqué (page 174) :
« Bérurier, heureux comme le printemps, chante à tue-tête une merveilleuse complainte dans laquelle il est question d’un invalide dont une partie délicate de l’individu est en bois ; ce qui, entre nous, doit avoir des avantages à certains moments. Son hymne étant à la mesure de son contentement, il me fracasse le tympan.
— Mets une sourdine, Gros, suppliai-je. J’aimerais bien entendre une dernière fois un disque de Brassens avant de m’engloutir dans le monde du silence. »
|
|