Jacques Layani
Léo Ferré, Un Archipel
Présentation de l’éditeur :
« J’aime la chanson, donc j’aime Ferré. […] C’est costaud comme un tigre et fragile comme un rossignol. » Ainsi parlait Jean Gabin.
Aimer Ferré, oui, mais pourquoi et comment ? À ces questions, au fil du temps, Jacques Layani a trouvé une kyrielle de réponses. Les voici ici réunies : tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Léo Ferré sans jamais oser le demander.
Tout Léo Ferré – c’est-à-dire « sa vie, son œuvre » – constitue un immense archipel : une infinité d’îles.
Invitation au voyage donc. Dans le sillage de l’auteur, on navigue de port en port, on embarque, on débarque, on explore chacune des « îles Ferré » : l’enfance, la famille, les proches, les maisons, les compositeurs, les poètes, les livres, les rencontres, la langue, les mots, la syntaxe, les notes, la musique, les chansons, la scène, le rythme, les couleurs, la voix, le chant, la liberté, les tournées, la colère, l’anarchie, la verve, l’imagination, l’amour, l’amitié, les blessures, les cris, les larmes, le chagrin, la lumière, les ombres, la source, la misère, la mort, l’espoir. Toute une géographie, toute une histoire !
Au hasard de cette odyssée, on croise André Breton, Aragon, Mac Orlan, Prévert, Ravel, Mozart, Poulenc, Trenet, Cole Porter, Chaplin, Garbo, Rimbaud, Baudelaire, Verlaine, Apollinaire, Seghers, Villon, Caussimon, Gainsbourg, Bartok, Gauguin, Catherine Sauvage, Édith Piaf. Et tant d’autres. »
Nous ajouterons à cette liste que Georges Brassens est aussi souvent croisé dans cet ouvrage publié dans une collection dirigée par nos amis Jean-Paul Liégeois et Salvador Juan. Nous avons particulièrement été intéressé par les chapitres concernant les relations entre Ferré et, respectivement, Pierre Mac Orlan et André Breton.
Un ouvrage très agréable à lire en le parcourant d’un chapitre à l’autre, au gré de sa fantaisie.
396 pages
Index des noms cités
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