Bertrand DICALE
Dictionnaire amoureux de la chanson française
Présentation de l’éditeur :
"La chanson ? C'est nous. Les copains d'abord et La Marseillaise, La vie en rose et L'aigle noir, La Javanaise et Mes emmerdes, Au clair de la lune et Osez Joséphine...
Nos émotions, nos joies, nos larmes, nos plaisirs, nos déprimes, nos exaltations et, finalement, nos vies entières sont écrites en chansons. Disposer d'un tel patrimoine est une singularité française, qui mêle les airs transmis en famille aux tubes radiophoniques, la chanson de poète et le commerce de variétés. Et aucun francophone n'échappe à cet héritage touffu, proliférant, inépuisable. Voici pourquoi explorer la chanson française est explorer notre pays, son âme, sa mémoire et ses passions.
Voici pourquoi explorer la chanson française consiste à rencontrer d'immenses artistes et à ouvrir des coffres à merveilles. Voici pourquoi explorer la chanson française consiste aussi à ne pas toujours comprendre les mystères du succès et de la postérité.
Ce Dictionnaire amoureux de la chanson française évoque donc Brassens, Gainsbourg, Barbara, Souchon, Piaf, Brel, Bashung, Gréco ou Delerm, mais aussi la censure, les yé-yé, Paris, l'oubli ou le bon vieux temps. Une traversée hédoniste, mélancolique, gourmande et parfois polémique pour saisir d'un même regard les grands maîtres et les petits génies, les légendes chéries et les vérités contestées, les monuments historiques et les splendeurs ignorées."
Notre commentaire :
Formidable somme de travail que ce Dictionnaire amoureux de la chanson française, surtout quand on y découvre les 12 pages consacrées à Brassens qui sont parmi les plus pertinentes jamais lues.
Il nous plaît de citer cet extrait d’un entretien de Bertrand Dicale avec un journaliste : “J’ai été élevé par mon père, ma mère et Georges Brassens. Il marque encore une bonne partie des choses que je fais dans la vie. Dans ma vie, je me demande souvent si mon attitude correspond aux chansons de Brassens. Je suis ainsi, comme des millions d’autres, du peuple de Brassens” .
Ajoutons que le Sétois, hormis les pages qui lui sont dédiées, est cité plus de 100 fois dans les multiples entrées de cet ouvrage indispensable.
750 pages
Dessins d’Alain Bouldouyre
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