Arnaud HADDAD
Sur un air de guitare
Quatrième de couverture : “Richard Ward a tout d’un homme comblé : écrivain célèbre, il enseigne sa passion pour la littérature à l’université de Santa-Barbara, Etats-Unis. Sa vie pourrait être idyllique s’il ne portait en lui un terrible fardeau : voilà près de 15 ans, Richard se réveilla dans une chambre d’hôtel. Amnésique. Bien des années se sont écoulées et l’écrivain coule des jours paisibles auprès d’Ashley. Jusqu’au jour où tout bascule.Moribond, Richard s’envole alors pour Paris dans un ultime sursaut à la recherche de son passé, emportant avec lui la photographie d’une sculpture en bronze qui titille sa mémoire endormie. Quels secrets découvrira-t-il au terme de son voyage ?”
Arnaud Haddad va bientôt avoir 40 ans. Diplômé d'un MBA en gestion des ressources humaines, il travaille dans le domaine de la formation continue. Ainsi au quotidien, il reçoit et écoute des adultes lui parler de leurs vies (professionnelles, et souvent personnelles), qu'ils aimeraient améliorer ou même changer. Comme vous le découvrirez en lisant son roman, cette écoute et cette volonté de changement sont bien présents dans plusieurs de ses personnages... Un auteur n'invente jamais totalement ses histoires... "Sur un air de guitare" est son troisième roman publié.
Arnaud vit en région parisienne et aime flâner, notamment dans les rues de la butte Montmartre. C'est d'ailleurs en prenant un verre à la terrasse du bar "Autour du Moulin" que la chanson "Le bistrot" lui est revenue en mémoire. De là a découlé un des thèmes de son roman : faire découvrir Paris au personnage principal (et aux lecteurs) à travers plusieurs chansons de Brassens : “Les ricochets”, “L’amandier”, “La légende de la nonne”, “La chasse aux papillons”, “Je suis un voyou”, “La fille à cent sous”, “Hécatombe” et “Les quatre bacheliers”.
Nous ne citerons pas un des très nombreux passages du roman où une chanson de GB est évoquée, mais ces lignes : “Une photo m’interpelle. Je demande :- Où l’as-tu prise, celle-là ? La photographie représente un mur de pierres. En gros plan : une sculpture, en bronze probablement, représente un homme enchâssé dans le mur. N’en sortent que la partie haute du corps, un bras levé, une jambe en mouvement, mimant l’homme en action qui cherche désespérément à s’extraire de la pierre. Benjamin détache la photographie de l’album. Il la regarde longuement, avant de répondre :- Aucune idée. Et toi Abby, tu t’en souviens ?“
Cette sculpture, célébrant un écrivain apprécié de Brassens, est située sur une petite place de Montmartre que l’auteur de cette note, en balade à Paris, a découvert récemment.
Couverture : photographie de Géraldine Sommier
290 pages
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