Gilles VERLANT
Gainsbourg
Si cette biographie est définitive, c'est parce que l'histoire a un début et, malheureusement, une fin. L'histoire du petit Lucien, de Serge et de Gainsbarre. L'itinéraire impeccable du "garçon sauvage".
Si cette biographie est définitive - Gainsbourg aurait dit "la totale -, c'est parce qu'elle est ultra documentée, truffée d'anecdotes, de scoops, de chansons inédites, de témoignages exclusifs : Jane Birkin et ses filles, Kate Barry et Charlotte Gainsbourg, Bambou, les soeurs de Serge, et une centaine de témoins privilégiés.
Si cette biographie est définitive, c'est parce que Serge faisait confiance à Gilles Verlant, son biographe favori, le seul qui ne l'ait jamais trahi, qui l'ait interviewé dès 1980 et jusqu'en octobre 1990, quelques mois avant sa mort.
Jamais Gainsbourg n'est allé aussi loin dans ses souvenirs...
Brassens est cité plusieurs fois dans cette somme où l’on apprend entre autres que Serge Gainsbourg a composé deux musiques sur des textes de Pierre Louki, découvert en première partie de Georges Brassens à Bobino, en 1972.
Nous avons noté cette déclaration de l'auteur de "La javanaise" à "Libération" en novembre 1976 : "Moi je ne suis pas Brassens. Lui c'est un peintre classique. Il n'a pas de problème de forme. Moi, je remets tout en question." Et celle-ci, à Jane en apprenant la mort de Brassens le 31 octobre 1981: « Maintenant il ne reste plus que moi. »
Deux cahiers photographiques
En annexes : bibliographie, discographie, filmographie, index des titres de chansons, d’albums, des livres, des films et des personnes citées
768 pages
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