Brassens, le petit père
par Pol Vandromme
Curieux petit livre de 138 pages d'un Belge, spécialiste de Tintin et de Simenon, qui étrille Ferré, épargne Brel mais analyse finement Brassens et son oeuvre.
Nous avons appris dans sa rubrique nécrologique parue dans "Le Monde" du 7 juillet 2009 que l'essentiel de la cinquantaine de livres de Pol Vandromme, qui signait aussi Paul, fut consacré aux lettres françaises, notamment aux auteurs de droite, et souvent d'extrême droite.
Il assumait ses sympathies pour Céline, Léon Daudet et Brasillach, libre à lui, mais on peut ne pas être d'accord avec sa volonté d'enrôler Brassens dans "l'anarchisme de droite" comme il le faisait dans cet essai, que malgré tout nous vous recommandons.
Première édition : Marc Laudelout, Bruxelles (1983)
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